Officiellement, Alitalia meurt le 14 octobre et ITA décolle le lendemain. Un nouveau programme de fidélité arrive
Le feu vert est donné, les dates et les chiffres sont là. L'actuelle Alitalia, ce qui reste [...]

Le feu vert a été donné et maintenant il y a des dates et des chiffres. L'actuelle Alitalia, ce qui reste après l'échec de l'accord avec Etihad, cessera d'exister le 14 octobre. Le lendemain, l'entreprise actuellement appelée ITAItalia Trasporto Aereo, décollera pour la première fois.
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Un accord a été trouvé entre le gouvernement et la Commission européenne : "La discussion a permis d'aboutir à une solution constructive et équilibrée, qui garantit la discontinuité nécessaire pour se conformer à la réglementation européenne", indique la note du ministère de l'Économie et des Finances.
Cela mettra fin à l'agonie qui a commencé le 2 mai 2017 lorsque le transporteur a été placé en redressement judiciaire.
"Acheteurs de billets pour les vols après cette date seront protégés", garantit l'Agence. Ministère du développement économique expliquant également que la travailleurs Alitalia qui "pourraient être embauchés dans la nouvelle société ITA, sont 2.800 en 2021 et 5.750 en 2022″.
Adieu à la Programme de fidélité Millemiglia. "Ne pouvant participer à l'appel d'offres qu'Alitalia en administration extraordinaire va lancer et gérer pour la vente des actifs liés à son programme de fidélisation, ITA entend se doter dès à présent d'un nouveau programme de fidélisation efficace, moderne, orienté client et permettant un meilleur accès à l'offre de la compagnie et de ses partenaires".
"L'issue positive de l'interlocution avec les services de la Commission - souligne le ministère de l'Économie - permet d'entamer les procédures relatives à l'augmentation de capital d'ITA et crée les conditions pour la signature du protocole d'accord pour le transfert de certaines activités d'Alitalia à la nouvelle société". En résumé, ITA pourra désormais commencer à négocier l'achat de nouveaux avions, à étudier les projets de développement de la compagnie et à mettre en place un système de gestion des risques. les partenariats industriels et celui de l'alliance avec laquelle conclure un partenariat pour s'ouvrir au monde et pouvoir acheminer des passagers sur des vols en partage de code.
Il ne reste plus qu'à attendre la suite des événements en espérant que, s'il y a lieu de faire un geste, il sera décidé de copier sur ceux qui ont fait de bonnes choses au fil des ans.